« Nous n’avons plus le choix. La planète se réchauffe à cause de l’activité humaine. Il y a urgence à se remettre en question pour éviter le pire. Faut-il pour autant renoncer au progrès social et économique ? La décroissance sauvera-t-elle la planète ? Je suis convaincu du contraire. Les dégâts de la mondialisation sont immenses. Mais je crains encore plus les effets de la pauvreté.
La prospérité en mode bas carbone est possible. De nombreuses innovations scientifiques nous montrent que l’espoir est permis. La Chine y croit et y consacre des milliards. La France aussi a tout pour réussir cette transition