Alors que l’œuvre proprement poétique s’était refermée en 1926 avec les « Fragments du Narcisse » laissés inachevés, le deuxième tome de cette édition atteste un certain retour du vers dans des œuvres destinées à la scène : après le livret d’Amphion en 1931, Valéry écrit celui de Sémiramis en 1934. Mais cette époque, surtout, demeure celle des commandes : de plus en plus sollicité, Valéry en effet multiplie conférences et discours officiels — à l’occasion, par exemple, du centenaire de la mort de Goethe en 1932 — qui le conduisent à se peindre avec humour comme le « Bossuet de la IIIe République ». Ces différents textes continuent d’être rassemblés