Pourquoi ce retour de la figure diabolique de Merlin, devin oublié depuis le "Brut", au centre d'une oeuvre en prose qui reconstruit à sa façon les fondements du monde arthurien ? Ce récit serait-il fait pour brouiller les repères entre les pseudo vérités de la prose et les mensonges avérés du roman ?
Forme de produitLivre broché / livre de poche broché